12 contes populaires brésiliens commentés

12 contes populaires brésiliens commentés
Patrick Gray

1. Le renard et le toucan

Un jour, un renard invita le toucan à dîner. Le pauvre toucan eut du mal à manger et se blessa au niveau de son long bec.

En colère, le toucan voulut se venger et invita le renard à manger chez lui. Il lui dit :

- Ami renard, puisque tu m'as invité à dîner l'autre jour, c'est à mon tour de te rendre la pareille. Viens chez moi aujourd'hui à l'heure du dîner et je te servirai un bon repas.

Le renard s'est empressé de répondre par l'affirmative.

Le toucan prépara alors une délicieuse bouillie et la servit dans une longue cruche. Le renard, affamé, ne put manger la bouillie, léchant seulement un peu ce qui tombait sur la table.

Pendant ce temps, le toucan se délectait de la nourriture et disait :

- Fox, tu as eu ce que tu méritais, parce que tu m'as fait la même chose. Je l'ai fait pour te montrer que tu ne devrais pas vouloir être plus intelligent que les autres.

Le renard et le toucan est un conte brésilien qui, à travers la figure de l'animal, nous révèle le comportement humain.

Des sentiments tels que la fierté et la colère sont abordés, tout en nous montrant des attitudes désagréables à l'égard de nos voisins.

Le renard, se croyant très malin, fait une "blague" au toucan, mais ne s'attend pas à ce qu'il vive la même situation.

Voir également: Types d'art : les 11 manifestations artistiques existantes

Il s'agit d'une mise en garde : Ne faites pas à l'autre ce que vous n'aimeriez pas qu'il vous fasse .

2) Malazarte : cuisson sans feu

Arrivé en ville, Pedro Malazarte est allé s'amuser dans les fêtes et les bars et a dépensé ses économies. Mais avant de devenir pauvre, il a acheté une casserole et de la nourriture et a continué son chemin.

A mi-chemin, il vit une maison abandonnée et s'arrêta pour se reposer. Il alluma un feu et mit la nourriture dans la marmite pour la réchauffer.

S'apercevant de l'arrivée d'une troupe, Pedro éteint rapidement le feu. Le repas est déjà chaud et fumant. Les hommes regardent curieusement et demandent :

- C'est drôle, vous cuisinez sans feu ?

Et Pierre répondit immédiatement :

- Oui, mais c'est parce que ma poêle est spéciale, elle est magique !

- Et comment se fait-il que l'on n'ait pas besoin de feu pour y cuisiner ?

- Comme vous pouvez le constater, j'envisage de le vendre. Vous le voulez ?

Les hommes ont été satisfaits et ont payé un bon montant.

Plus tard, lorsqu'ils voulurent utiliser la poêle sans feu, ils se rendirent compte qu'ils avaient été dupés, mais Pedro Malazarte était déjà loin.

Pedro Malazarte est un personnage très répandu au Brésil et au Portugal, un homme très intelligent, fourbe et cynique.

Dans ce conte, il réussit à confondre un groupe d'hommes et à leur vendre un objet pour une valeur beaucoup plus élevée.

En effet, l'histoire révèle la ruse et la malhonnêteté de Pedro, mais met également en évidence les naïveté de plusieurs personnes.

3. comment Malazarte est entré au paradis

Lorsque Malazarte mourut et atteignit le paradis, il dit à saint Pierre qu'il voulait y entrer.

Le saint a répondu :

- Tu es fou, tu as le courage de vouloir entrer au paradis, après tout ce que tu as fait pour le monde !

- Je le veux, Saint Pierre, car le ciel appartient aux repentants, et tout ce qui arrive est par la volonté de Dieu.

- Mais ton nom n'est pas dans le livre des justes et tu n'y entres pas.

- Mais ensuite, j'ai voulu parler au Père éternel.

Saint Pierre se mit en colère contre cette proposition et dit :

- Non, pour parler à Notre Seigneur, il fallait entrer au ciel, et celui qui entre au ciel ne peut plus en sortir.

Malazarte commença à se lamenter et demanda au saint de le laisser au moins regarder le ciel, juste à travers la petite porte, pour qu'il puisse avoir une idée de ce qu'était le ciel et se lamenter sur ce qu'il avait perdu à cause de ses mauvais arts.

Saint Pierre, déjà cabossé, ouvrit une fente dans la porte et Pierre y passa la tête.

Mais soudain, il s'est mis à crier :

- Regarde, Saint Pierre, notre Seigneur, qui vient me parler. Je ne te le dirais pas !

Saint Pierre s'est consciencieusement tourné vers le ciel pour rendre hommage au Père éternel qu'il supposait y venir.

Et Pedro Malazarte a alors sauté dans le ciel.

Le saint, voyant qu'on l'avait trompé, voulut jeter Malazarte dehors, mais celui-ci riposta :

- Maintenant, il est trop tard ! Saint Pierre, rappelle-toi que tu m'as dit qu'une fois entré au paradis, personne ne peut plus en sortir. C'est l'éternité !

Et Saint Pierre n'a pas eu d'autre choix que de laisser Malazarte y rester.

Extrait du livre Les grands contes populaires du monde de Flávio Moreira da Costa, est l'une des histoires qui met également en scène la figure emblématique de Pedro Malazarte.

C'est un récit qui nous amène à imaginer la scène et à observer l'habileté de Malazarte, qui parvient à tromper même les saints.

Il est donc possible de développer l'empathie et identification avec le personnage, qui malgré tricheur présente un humour et intelligence admirable.

4. le bol d'or et les marimbondos

Un homme riche et un homme pauvre se jouaient toujours des tours l'un à l'autre.

Un jour, le pauvre est allé voir le riche et lui a demandé un terrain pour commencer une plantation. Le riche lui a offert un très mauvais terrain.

Le pauvre parla à sa femme et tous deux allèrent voir l'endroit. Lorsqu'ils arrivèrent, le pauvre trouva un bol d'or. Le pauvre fut honnête et dit à l'homme riche que sur sa terre il y avait des richesses.

Le riche renvoya le pauvre et partit avec sa femme pour voir cette richesse, mais lorsqu'il arriva, il ne trouva qu'une grande maison de marimbondes. Il mit la maison dans un sac et partit pour la maison du pauvre. Arrivé là, il cria :

- Compadre, ferme les portes de ta maison et laisse une seule fenêtre ouverte !

Le pauvre a obéi et le riche a jeté la maison des marimbondes dans la masure. Aussitôt après, il a poussé des cris :

- Fermez la fenêtre !

Les marimbondos sont entrés dans la maison et se sont rapidement transformés en pièces d'or. Le pauvre homme et sa famille étaient très heureux et ont commencé à accumuler leurs richesses.

L'homme riche, sentant l'euphorie, a crié :

- Ouvrez la porte, compadre !

Mais il l'a entendu comme une réponse :

- Laissez-moi ici, les marimbondes me tuent !

C'est ainsi que les riches se sont retrouvés dans l'embarras tandis que les pauvres se sont enrichis.

Le conte mélange l'imaginaire et la réalité pour aborder des questions liées à l'honnêteté, la fierté et la justice. Un autre point fort est l'inégalité sociale.

L'homme riche, prétendant être un ami du pauvre, lui donne la pire partie de la terre, mais parce que le pauvre était un homme bon, il est récompensé par des pièces d'or.

Ainsi, le conte suggère que lorsque l'on a bon cœur et que l'on est honnête, le bien vient.

5. le singe et le lapin

Le lapin et le singe se sont mis d'accord : le singe est chargé de tuer les papillons et le lapin est chargé de tuer les serpents.

Lorsque le lapin s'est endormi, le singe s'est approché et lui a tiré les oreilles, disant qu'il s'était trompé en pensant qu'il s'agissait de papillons.

Le lapin n'a pas du tout apprécié et lui a retourné la blague.

Un jour, alors que le singe s'était endormi, le lapin lui donna un coup de pied aux fesses.

Le singe se réveilla effrayé et souffrant, et le lapin le lui dit :

- Maintenant, juste au cas où, je dois me protéger. Sous les feuilles, je vivrai.

Cette nouvelle met également en scène des animaux et présente une plaisanterie peu drôle entre le singe et le lapin, dans laquelle les caractéristiques physiques de chacun servent de prétexte à l'autre pour être désagréable et déloyal.

Il en résulte une situation inconfortable dans laquelle la la confiance est rompue et tous deux devront vivre sur leurs gardes pour ne pas être dérangés.

6. la grenouille qui a peur de l'eau

Un jour ensoleillé, deux amis décident de se reposer au bord d'une lagune.

Ils virent une grenouille endormie et décidèrent de s'en moquer. Ils la prirent dans leurs bras et se moquèrent d'elle, la traitant de maladroite et de dégoûtante. Ils décidèrent alors de faire encore plus de bêtises et se mirent d'accord pour la jeter dans la fourmilière.

La grenouille a alors tremblé de peur, mais s'est retenue et a souri. Se rendant compte que l'animal n'avait pas peur, l'un d'entre eux a dit :

- Oh, non ! Coupons-le en petits morceaux.

Voyant que rien n'effrayait la grenouille, l'un des garçons dit à l'autre de grimper à un arbre et de lancer l'animal de là-haut.

L'autre a menacé de faire cuire la grenouille au barbecue, mais rien n'a pu enlever la paix à la grenouille.

Jusqu'à ce que l'un d'entre eux dise :

- Jetons donc cet insecte dans l'étang.

En entendant cela, la grenouille poussa un cri de désespoir :

- Non ! Faites n'importe quoi, mais ne me jetez pas dans l'étang !

Les garçons étaient heureux de laisser l'animal hors de contrôle et ont dit :

- Ah ! Alors c'est ça, jetons la grenouille à l'eau oui !

La grenouille a dit qu'elle ne savait pas nager, mais les garçons l'ont jetée dans l'étang en riant.

Les garçons sont embarrassés et la grenouille est sauvée !

Cette histoire illustre bien la maléfique et le sadisme, ainsi que intelligence et sérénité La grenouille, même menacée de la pire des manières, ne montre pas de désespoir, reste en paix et espère que quelque chose de bon se produira.

Les garçons étaient tellement désireux de faire souffrir l'animal qu'ils ne se rendent pas compte qu'ils finissent par le relâcher.

7. le renard et l'homme

Une renarde s'est arrêtée pour se reposer sur la route où un homme devait passer.Maligne, elle a fait la morte.L'homme s'est approché et a parlé :

- Ils ont fait un trou, ont laissé le renard et sont partis.

Après le passage de l'homme, le renard s'enfuit à nouveau, fut plus rapide que l'homme et s'allongea plus loin sur le chemin, faisant semblant d'être mort.

Dès que l'homme l'a vu, il a dit :

- Un autre renard est mort !

Il a donc repoussé l'insecte, l'a recouvert de feuilles et est passé à autre chose.

Le renard fit de nouveau de même et fit semblant d'être mort sur la route.

L'homme est entré et a dit :

- Quelqu'un a-t-il fait cela avec autant de renards ?

L'homme la détourne de la route et la suit.

Le renard joua de nouveau le même tour au pauvre homme, qui, voyant la même scène, dit :

- Que le diable emporte tant de renards morts !

Il saisit l'animal par la queue et le jette dans le buisson.

Le renard conclut ensuite :

- Nous ne pouvons pas abuser des personnes qui nous font du bien.

Ce court conte populaire illustre une situation dans laquelle une personne souffre de manière répétée aux mains d'une autre personne, mais ne se rend pas compte des mauvaises intentions qui se cachent derrière ce comportement.

Ce n'est donc qu'après avoir été ridiculisé à d'innombrables reprises que l'homme se rend compte que quelque chose ne va pas. il ne faut pas se moquer et profiter de la gentillesse des autres .

8. le renard et le chien

Un matin pluvieux, l'oiseau chanteur était trempé et triste, perché sur une route. Un renard est arrivé et l'a pris par la bouche pour l'apporter aux oisillons.

La renarde était loin de chez elle et fatiguée. Jusqu'à ce qu'elle arrive dans un village, où des garçons ont commencé à se moquer d'elle. Voici que l'oiseau parle :

- Comment pouvez-vous accepter ces insultes ? C'est un scandale ! Si c'était moi, je ne me tairais pas.

La renarde ouvre alors la bouche pour répondre aux garçons et le canon s'envole, atterrit sur une branche et aide les garçons à la huer.

Le conte, semblable aux fables d'Esope, nous montre une adaptation aux terres brésiliennes.

Dans l'histoire, nous voyons une fois de plus le thème de l'intelligence Pour se débarrasser de la mort, l'oiseau adopte une attitude calme jusqu'à ce qu'il ait l'occasion de s'échapper, ce qu'il fait dans un moment d'insouciance et de vanité de la part du renard.

Pourquoi le chien est-il l'ennemi du chat et le chat l'ennemi de la souris ?

Il fut un temps où les animaux étaient tous amis et celui qui les gouvernait était le lion. Un jour, Dieu ordonna au lion de libérer les animaux pour qu'ils puissent choisir où aller. Tout le monde était heureux.

Le lion distribua donc les lettres de liberté aux animaux les plus rapides pour qu'ils les donnent aux autres.

C'est ainsi qu'il a laissé la lettre du chien au chat, qui s'est enfui et a trouvé en chemin la souris qui buvait le miel des abeilles.

La souris a ensuite posé la question :

- Ami chat, où vas-tu si vite ?

- Je vais donner la lettre au chien.

- Attends un peu, viens aussi boire ce délicieux miel.

Le chat se rangea à l'avis de la souris, prit assez de miel et s'endormit. La souris, très curieuse, décida de fouiller dans les affaires du chat. Elle finit par mâcher tous les papiers que son ami portait, mais les laissa dans le sac. Voyant ce qu'elle avait fait, elle décida de s'enfuir dans la forêt.

A son réveil, le chat s'est enfui pour donner la lettre au chien. Lorsqu'il a retrouvé le chien, le chat lui a donné la lettre toute pourrie. Il n'a pas pu la lire, ni prouver à l'homme que le chien était un animal libre.

Le chien se mit donc à poursuivre le chat qui, à son tour, sachant qu'il s'agissait du gâchis de la souris, se mit lui aussi à la poursuivre.

C'est pourquoi les trois animaux ne se comprennent toujours pas.

Ce conte est une version brésilienne d'histoires similaires en Europe. Il s'agit d'une récit étiologique C'est la définition donnée lorsqu'une histoire cherche à expliquer l'émergence, les caractéristiques ou la raison d'être d'un événement ou d'une créature.

Dans la nouvelle en question, ce qui est mis en scène, c'est la hostilité Il met également en évidence le fait que les domestication des chiens par l'être humain.

10. le caboclo et le soleil

Un fermier et un caboclo ont parié sur celui qui verrait le premier rayon du soleil se lever. Ils se sont rendus à l'aube dans un endroit dégagé de la ferme. Le fermier s'est tenu debout, regardant en direction du soleil levant, en attendant.

Le caboclo est assis sur un rocher, dos à lui, et regarde dans la direction opposée.

Le paysan trouve la bêtise de l'autre amusante, alors le caboclo s'écrie :

Mon maître, le soleil ! Le soleil !

Curieux et étonné que le caboclo ait vu le soleil se lever au coucher du soleil, le fermier se retourna et, juste comme ça, un éclat de lumière brilla au loin, venant de l'est par-dessus les nuages amoncelés, les montagnes. C'était le premier rayon de soleil et le caboclo gagna le pari.

Ce vieux conte brésilien a été écrit en ces termes par Gustavo Barroso, folkloriste national, et figure dans le livre Contes traditionnels du Brésil par Câmara Cascudo.

Il s'agit de esprit d'un homme simple qui réussit à tromper son patron, un fermier qui se croyait très malin.

11. paresse

Comme sa fille souffrait des douleurs de l'accouchement, la paresseuse est partie à la recherche de la sage-femme.

Voir également: Le discours de Martin Luther King "Je fais un rêve" : analyse et signification

Dix-sept ans plus tard, alors qu'elle est toujours en voyage, elle se heurte à un obstacle sur la route et pousse un cri de colère :

C'est le diable de la précipitation...

Après tout, lorsqu'elle est arrivée à la maison avec la sage-femme, elle a trouvé les petits-enfants de sa fille en train de jouer dans le jardin.

Ceci est également présent dans le livre Contes traditionnels du Brésil Compilation de récits du chercheur Luís da Câmara Cascudo.

Dans la nouvelle, il s'agit d'une situation où un les sept péchés capitaux , a paresse s'affiche à travers la figure de l'animal qui porte le même nom.

Ici, la paresse a mis tellement de temps à résoudre une situation que lorsqu'elle a trouvé la "solution", il était trop tard.

12. le singe a perdu sa banane

Le singe mangeait une banane sur la branche d'un bâton lorsque le fruit lui a échappé et est tombé dans un creux de l'arbre. Le singe est descendu et a demandé au bâton de lui donner la banane :

- Pau, donne-moi la banane !

Le singe alla voir le forgeron et lui demanda de venir avec une hache pour couper le bâton.

- Forgeron, apporte la hache pour couper le bâton qui est resté avec la banane !

Le forgeron s'en fichait. Le singe alla voir le soldat pour lui demander d'arrêter le forgeron. Le soldat ne voulut pas. Le singe alla voir le roi pour demander au soldat d'arrêter le forgeron afin qu'il puisse aller avec la hache couper le bâton qui contenait la banane. Le roi n'y prêta pas attention. Le singe fit appel à la reine. La reine n'écouta pas. Le singe alla voir la souris pour mâcher les vêtements de la reine. La souris refusa. Le singe fit appel à la reine.Le chat s'en moque. Le singe va voir le chien pour qu'il morde le chat. Le chien refuse. Le singe va voir le jaguar pour qu'il mange le chien. Le jaguar ne veut pas. Le singe va voir le chasseur pour qu'il tue le jaguar. Le chasseur refuse. Le singe va à la mort.

La mort eut pitié du singe et menaça le chasseur, qui chercha le jaguar, qui poursuivit le chien, qui suivit le chat, qui courut la souris, qui voulut ronger les vêtements de la reine, qui envoya le roi, qui ordonna au soldat d'arrêter le forgeron, qui coupa le bâton avec sa hache, duquel le singe prit la banane et la mangea.

Il s'agit d'une nouvelle également présente dans le livre Contes traditionnels du Brésil, de Câmara Cascudo.

Ce type de conte est très répandu dans diverses régions du continent américain, et pas seulement au Brésil. Il s'agit d'un ". historique cumulé "Le projet de loi sur l'immigration et la protection des réfugiés (LIPR) est un projet de loi qui a pour but d'améliorer la situation de l'immigration et de la protection des réfugiés.

Dans ce cas, nous pouvons l'interpréter comme un exemple de "caprice", de entêtement du singe, qui fait tout pour pouvoir manger sa banane, qu'il a lui-même fait tomber de sa main.




Patrick Gray
Patrick Gray
Patrick Gray est un écrivain, chercheur et entrepreneur passionné par l'exploration de l'intersection de la créativité, de l'innovation et du potentiel humain. En tant qu'auteur du blog "Culture of Geniuses", il s'efforce de percer les secrets d'équipes et d'individus performants qui ont obtenu des succès remarquables dans divers domaines. Patrick a également cofondé une société de conseil qui aide les organisations à développer des stratégies innovantes et à favoriser les cultures créatives. Son travail a été présenté dans de nombreuses publications, notamment Forbes, Fast Company et Entrepreneur. Avec une formation en psychologie et en affaires, Patrick apporte une perspective unique à son écriture, mélangeant des idées scientifiques avec des conseils pratiques pour les lecteurs qui souhaitent libérer leur propre potentiel et créer un monde plus innovant.